Figures

Chargement...
Couverture fascicule

Saint Matthieu (?) écrivant sous la dictée de l'ange, bas-relief en pierre (Musée du Louvre)

[article]

restrictedrestricted Cet article contient des illustrations pour lesquelles nous n'avons pas reçu d'autorisation de diffusion (en savoir plus)

Avant de procéder à toute mise en ligne, les responsables des revues sollicitent les auteurs d'articles et d'illustrations pour obtenir leurs autorisations. Dans cet article, la personne disposant des droits sur les illustrations a dû refuser la diffusion libre et gratuite de son travail. Nous avons donc apposé des masques permettant de dissimuler l'illustration (et donc de satisfaire la demande de l'ayant droit) et de laisser un accès libre au texte de l'article.

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 57

SAINT MATTHIEU(?)

ÉCRIVANT SOUS LA DICTÉE DE L'ANGE

BAS-RELIEF EN PIERRE 'musée du louvre)

PLANCHE VI

Ce charmant bas-relief a figuré jusqu'en 1903 au Musée municipal de Chartres, qui lavait reçu, en dépôt provisoire, delà Société archéologique d'Eure-et-Loir. Le bureau de cette société, conformément à une délibération de l'assemblée générale, Fa cédé au Musée du Louvre en io,o5.

Quelque incertitude subsiste sur l'époque et les circonstances de son entrée dans les collections de la Société archéologique d'Eure- et-Loir. M. l'abbé Langlois, bibliothécaire de cette société *, a retrouvé dans les procès-verbaux mention du don d' « un bas-relief en pierre du xin1 siècle » fait à la société par la Supérieure générale des religieuses de Saint-Paul de Chartres, propriétaire de l'ancien immeuble des Jacobins, et, comme on sait par un historien de Chartres au xvine siècle, Pintard, que le chœur des Jacobins était séparé de la nef par

1. M. Langlois, Les Scribes de Chartres (extrait de la Revue Mabillori), Namur, igo5.

Tome XIII. 8

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw